Vit à : Paris , France
Historienne de l’art de formation (Sorbonne Paris IV & PUCP du Pérou), Claire Luna est critique d’art et commissaire d’exposition indépendante. Elle a réalisé ses recherches aux Etats-Unis (New York) et dans de nombreux pays des Amériques que l’on dit encore latines (Pérou, Équateur, Colombie, Paraguay, Uruguay, Cuba) avec lesquels elle travaille régulièrement.
Outre son intérêt pour les scènes artistiques non occidentales et les oublié.e.s de l’Histoire, elle cherche à repérer ce qu’elle pourrait identifier comme une tendance ou un sujet du contemporain, souvent à la croisée de différents champs d’étude et surtout au gré des rencontres. Aussi, a-t-elle conçu La rencontre des eaux, un cycle d’expositions, de rencontres et de performances autour de l’eau comme matière politique et poétique (Cité Internationale des arts & CNAP). Un autre projet important a été celui de l’exposition itinérante Sens-Fiction porté par RF studio (Tripostal & Lieu Unique). L’idée du déplacement l’intéresse – celui du regard et celui des corps –, l’errance et la dérive particulièrement. Elle travaille actuellement sur ce qu’elle appelle la théorie du bégaiement, le concept de l’espace entre et l’infiltration comme stratégie de lutte ou de résistance. Elle est à la recherche du réenchantement de notre temps par la poésie, le rêve, la croyance ou le sacré.
Claire Luna est membre de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art), du CA de CEA (Association Française des Commissaires d’Exposition), du collectif JCA (Jeunes Critiques d’Art), du bureau des commissaires à POUSH et co-fondatrice du laboratoire de recherche l’Echo du vivant au CAC La traverse. Membre de RADICANTS (2022), coopérative de curateur.ices fondée par Nicolas Bourriaud, elle a enseigné la théorie de l’art à l’université Paris 8.
Diplômée en histoire de l’art à La Sorbonne Paris IV, Claire Luna est critique d’art et commissaire d’exposition indépendante. Elle a réalisé ses recherches en Amérique du Sud (Pérou, Équateur, Colombie, Paraguay, Uruguay) et aux Etats-Unis (New York). Les scènes artistiques dites de la périphérie, les oublié.e.s de l’histoire moderne et contemporaine, le travail de celles et ceux qui permettent de la relire, de la penser ou de l’écrire autrement, constituent pour elle un sujet de prédilection et ce depuis plus de 15 ans. Outre son intérêt pour les productions artistiques de certaines cultures marginalisées ou effacées, elle cherche à repérer ce qu’elle pourrait identifier comme une tendance ou un sujet du contemporain souvent à la croisée de différents champs d’étude et au gré des rencontres.
Exposition collective
Co-commissaire : bureau des penseur.euses
Sous la coupole – POUSH
Les ouïes
Exposition personnelle de Alice Lejeune
VILLA PANTHÉON – Paris 4e