Vit à : Marseille , France
Après son Master Recherche en Histoire de l’art contemporain (2019) elle cofonde l’association mastic avec quinze travailleur·ses de l’art issu·es des écoles du Sud pour appréhender le collectif en tant qu’outil de survie. À Marseille, mastic investit un espace autogéré de 400m2 accueillant une trentaine de résident·es. Depuis, elle s’engage à valoriser les initiatives autogérées et les dynamiques qu’elles produisent au sein d’un territoire. La notion de collectif est partie intégrante de son travail : se refusant à une parole surplombante, elle tente de co-fabriquer des modèles et des narrations alternatives. À travers des publications, des conférences, des podcasts et des expositions, elle étudie les logiques de réalité d’une scène émergente, au sud, qui aspire à se définir par elle-même.
En tant que commissaire, elle produit des expositions pensées comme des outils de réflexion sur l’art, à travers ses contextes politiques, écologiques et sociaux. Depuis 2023 elle initie un cycle d’expositions autour des éléments qui illustre l’impact de l’éco-anxiété sur notre génération et les récits qu’il produit. Ce projet favorise des méthodes de mise en commun de nos vulnérabilités et l’émergence des imaginaires liés à l’en-dessous.
Elle est membre de l’AICA, de C-E-A, et rejoint différents collectifs qui interrogent les moyens d’un engagement artistique et politique : Contemporaines en tant que coordinatrice et Jeunes Critiques d’Art en qualité de vice-présidente.
Alexia Abed (1993) est critique d’art, chercheuse et commissaire indépendante basée à Marseille.
Après son Master Recherche en Histoire de l’art contemporain (2019) elle cofonde l’association mastic avec quinze travailleur·ses de l’art issu·es des écoles du Sud pour appréhender le collectif en tant qu’outil de survie. À Marseille, mastic investit un espace autogéré de 400m2 accueillant une trentaine de résident·es. Depuis, elle s’engage à valoriser les initiatives autogérées et les dynamiques qu’elles produisent au sein d’un territoire. La notion de collectif est partie intégrante de son travail : se refusant à une parole surplombante, elle tente de co-fabriquer des modèles et des narrations alternatives. À travers des publications, des conférences, des podcasts et des expositions, elle étudie les logiques de réalité d’une scène émergente, au sud, qui aspire à se définir par elle-même.
En tant que commissaire, elle produit des expositions pensées comme des outils de réflexion sur l’art, à travers ses contextes politiques, écologiques et sociaux. Depuis 2023 elle initie un cycle d’expositions autour des éléments qui illustre l’impact de l’éco-anxiété sur notre génération et les récits qu’il produit. Ce projet favorise des méthodes de mise en commun de nos vulnérabilités et l’émergence des imaginaires liés à l’en-dessous.
Elle est membre de l’AICA, de C-E-A, et rejoint différents collectifs qui interrogent les moyens d’un engagement artistique et politique : Contemporaines en tant que coordinatrice et Jeunes Critiques d’Art en qualité de vice-présidente.